mercredi 25 janvier 2012

Concevoir : PHP de plus en plus plébiscité en entreprise !

Comme le prouve l'étude réaliser par la société Zend sur le dernier trimestre 2011, nommé Zend Developper Pulsel'utilisation de PHP en entreprise est en pleine progression et la tendance pour 2012 est encore plus encourageante.
Il faut certes relativiser cette étude en fonction du panel choisi, 3335 entreprises de toutes tailles et certainement pas totalement étranger au développement PHP, mais cela permet tout de même de dégager des statistiques et des tendances pour le moins intéressantes. 
Et en plus c'est bien présenté et pensé pour la diffusion partielle (tous les graphes peuvent être téléchargés indépendamment : BRAVO Zend Technologies !

Je ne vais pas reprendre toutes l'étude, je vous laisse le soin de la lire mais j'en retiens tout de même quelques graphiques et surtout la conclusion.

Temps passé au développement PHP

Ce graphique met en évidence une importante mise en oeuvre du langage PHP.

Ce qui est confirmé par les statistiques d'indeed.com avec une forte croissance des demandes concernant des profils PHP.

Marché du travail - tendances

Java toujours présent...
Les histogrammes ci-dessous montre encore un fort attrait pour le Java, mais surtout une utilisation en masse du javascript. Cela s'explique en partie avec la pratique importante de PHP, car il est rare d'utiliser Java et PHP alors que Javascript est un complément courant (même s'il ne respecte pas les règles d'accessibilité mais c'est un autre sujet ;))

Une forte tendance à l'Open Source
Cette étude met aussi en avant les résultats d'une enquête de Forrester Research (un peu plus ancienne puisque 3ème trimestre 2010), qui place les technologies Open Source sur le devant de la scène.

Génération Y ?
L'enquête ne dit pas l'âge des votants mais on peut voir sur ce graphique que les préoccupations pour l'année à venir ne sont que très peu liées au travail...
"Un esprit sain dans un corps sain" me semble une bonne philosophie pour être performant dans l'entreprise !


Conclusion
Je vous laisse lire de vous même la conclusion de l'étude mais en résumé Zend Technologies dessine des tendances liées à la mobilité, au cloud et aux réseaux sociaux (ah bon ;))

vendredi 20 janvier 2012

Manager : Sachez laisser la libre pensée !

Je viens de tomber sur un partage Google Plus qui m'a fait écho, je vous ai donc trouvé une traduction...


Cette anecdote permet de tirer quelques enseignements :

  • il n'y a pas UNE solution à un problème mais plusieurs
  • ce n'est pas parce que vous avez une solution que c'est la meilleure ou celle à mettre en oeuvre
  • on ne réfléchit pas tous de la même façon : l'avantage d'une réflexion à plusieurs est bien sûr liée à la liberté de pensée !
  • sachez écouter vos collaborateurs, ils auront peut être des idées que vous n'aurez pas eues...

Ernest Rutherford, Prix Nobel de Chimie 1908, nous raconte cette anecdote amusante lorsqu’il était encore professeur de chimie :

Il y a quelque temps, j'ai reçu un message d'un collègue à propos d'un étudiant, il estimait qu'il devait lui donner un zéro à une question de physique, alors que l'étudiant réclamait un 20.
Le professeur et l'étudiant se mirent d'accord pour choisir un arbitre impartial et je fus choisi.
Je lu la question de l'examen :
« Montrez comment il est possible de déterminer la hauteur d'un building à l'aide d'un baromètre. »
L'étudiant avait répondu :
« On prend le baromètre en haut du building, on lui attache une corde, on le fait glisser jusqu' au sol, ensuite on le remonte et on calcule la longueur de la corde. La longueur de la corde donne la hauteur du building. »
L'étudiant avait raison vu qu'il avait répondu juste et complètement à la question.
D'un autre côté, je ne pouvais pas lui mettre ses points : dans ce cas, il aurait reçu son diplôme de physique alors qu'il ne m'avait pas montré de connaissances en physique.
J'ai proposé de donner une autre chance à l'étudiant en lui donnant six minutes pour répondre à la question en me démontrant des connaissances de physique.
Après cinq minutes, il n'avait encore rien écrit.
Je lui ai demandé s'il voulait abandonner mais il répondit qu'il avait beaucoup de réponses pour ce problème et qu'il cherchait la meilleure d'entre elles.
Je me suis donc excuser de l'avoir interrompu et l’ai laissé poursuivre sa réflexion. 
Dans la dernière minute, il se hâta pour me répondre : « On place le baromètre à la hauteur h du toit. On le laisse tomber en mesurant son temps de chute t avec un chronomètre. Ensuite en utilisant la loi de la chute des corps : h = gt²/2, on trouve la hauteur de l’immeuble ».  
En quittant son bureau, j’ai rattrapé l’étudiant pour qu’il m’expose les autres solutions qu’il avait trouvées à ce problème.  
« Eh bien, me dit-il, il y a vraiment de nombreuses façons d’évaluer la hauteur d’un immeuble avec un baromètre :
  • tout d’abord, on peut le placer dehors lorsqu’il y a du soleil, on mesure la hauteur de son ombre ainsi que celle de l’immeuble, et en connaissant la hauteur du baromètre, on détermine celle de l’immeuble, 
  • il y a aussi une méthode très basique que vous allez apprécier. On monte les étages avec le baromètre, on marque la longueur du baromètre sur le mur. En comptant le nombre de marques, on déduit la hauteur de l’immeuble en longueurs de baromètre.  
  • bien sûr, si vous voulez une méthode plus sophistiquée, vous pouvez pendre le baromètre à une corde en étant sur le toit de l’immeuble, le laisser descendre jusqu’au raz du sol, le faire balancer comme un pendule et mesurer sa période d’oscillation. Cette période dépend de la longueur L de la corde et vaut  , la mesure de la période avec un chronomètre permet de retrouver L qui correspond à peu de chose près à la hauteur de l’immeuble». 

Finalement, il conclut :  « Il y a encore bien d’autres façons de résoudre ce problème, la meilleure étant probablement d’aller frapper à la porte du concierge et lui dire « je vous offre ce superbe baromètre si vous me dites quelle est la hauteur de cet immeuble »».
Sans douter de sa réponse, j’ai quand même demandé à l’étudiant s’il connaissait la solution qu’on attendait de lui. Il a admis qu’il la connaissait mais qu’il en avait assez des professeurs qui essayaient de lui apprendre comment il devait penser.  
Cet étudiant s’appelait Niels Bohr, Prix Nobel de Physique 1922. (Pour ses travaux sur les mécaniques quantiques)
A partir de « L’eau au quotidien » de Michel Laguës Editions O.Jacob Page 24

samedi 14 janvier 2012

Manager : Un appel à plus de bienveillance en entreprise


En rapport direct, avec le dossier sur le management et la gentillesse (voir ce billet), voici une initiative dont je n'avais pas connaissance mais qui me fait énormément écho.

Le magazine "Psychologies" a instauré la "Journée de la Gentillesse", dont la 3ème édition a eu lieu le 13 Novembre 2011. En parallèle de cette action déjà très louable, un Appel à plus de bienveillance en entreprise recueille les signatures des entreprises soucieuses du bien-être de  leurs collaborateurs :  http://journee-de-la-gentillesse.psychologies.com/Appel-a-la-bienveillance-au-travail/Appel-a-plus-de-bienveillance-au-travail

Je m'empresse donc de relayer au plus vite cette information au sein d'HARDIS mais aussi, et surtout, au sein de mon réseau pour la diffuser au plus grand nombre !

Je sais que la date est lointaine mais je compte sur vous le 13 Novembre 2012 !